« (Roy Jenkins) a d’abord considéré le problème de l’Europe – comme c’était son devoir de député – en pesant exactement les avantages et les inconvénients qui y étaient étroitement liés pour son pays, et ce faisant il a fait entrer dans son calcul la mentalité de ses compatriotes […] L’examen des conditions négociées par le gouvernement britannique l’avait convaincu qu’elles étaient acceptables pour son pays, et avec cela son point de vue était bien établi. Quand le vote de principe fut fixé, tous les efforts d’établir une attitude homogène de refus de la part de son parti se brisèrent à sa ferme résolution. »