« Elle ne veut pas d’effacement mais une participation à l’édification progressive de l’Union européenne, à la concrétisation ambitieuse de l’intégration politique, économique, sociale et monétaire, à la création d’une nouvelle vision européenne au sein de laquelle le vieux continent se perçoit comme élément essentiel de notre monde ayant la volonté de gérer les problèmes globaux dans le cadre d’une collaboration globale. La conscience de la lauréate du prix Charlemagne de cette année […] est assurément européenne. »