« En Autriche, on a déjà réfléchi avant plus qu’ailleurs à la façon dont la conscience de la communauté de toute l’Europe pouvait à nouveau être libérée des ornières des lignes de division des camps politiques. Forte d’une époque où la coopération succédait à la confrontation, l’Autriche peut, grâce à son expérience historique et ses liens avec les pays voisins d’Europe centrale et de l’Est, stimuler l’Union européenne qui a peut-être seulement pendant le siècle actuel l’occasion d’accomplir l’union de tous. L’histoire offre rarement ce genre de chances deux fois. »